Parachat Vayétsé : Yaacov, le père des tribus d’Israël, rentre en Erets Canaan
DE QUOI TRAITE LA PARACHAT VAYÉTSÉ ?
Voyageant en direction de ‘Haran, Yaacov fait une halte et s’endort. Il rêve d’une échelle qui s’étend de la terre vers le ciel, et sur laquelle montent et descendent des anges. Une apparition d’Hachem lui assure que la terre sur laquelle il se trouve sera l’héritage d’Israël. Conscient de la sainteté de ce lieu, il déclare : « Comme cet endroit est redoutable ! Ce ne peut être que la Maison de Dieu et c’est la porte des cieux. »
Arrivé à ‘Haran, Yaacov réside chez Labane (son oncle) et travaille pour lui sept années consécutives afin d’épouser sa fille Ra’hel. Le soir des noces, c’est Léa, la sœur aînée de Ra’hel, qu’épouse Yaacov suite à une roublardise de Labane. Il finira tout de même par se marier aussi avec Ra’hel, sa bien-aimée, mais Labane exigera sept années de travail supplémentaires en échange.
La sidra nous rapporte les naissances des enfants de Léa puis de ceux des servantes de Ra’hel (Bilah) et de Léa (Zilpah). Par la suite, Ra’hel aura un fils : Yossef. Après 20 ans au service de Labane, et avoir obtenu une certaine richesse, Yaacov décide de rentrer secrètement en Eretz Canaan avec sa famille et ses biens. En effet, Labane était contre son départ et voulait l’en empêcher. Ainsi, quand il apprend la nouvelle, il les poursuit et finit par les rejoindre. Hachem apparait auprès de Labane à travers un songe et ce dernier accepte le départ de Yaacov : les deux hommes concluent même un pacte. Yaacov poursuit alors son chemin en direction de Canaan, quand des messagers (anges) viennent à sa rencontre.
VAYÉTSÉ, LA TORAH ET LA VÉRITÉ
« Il eut peur, et dit : "combien est redoutable cet endroit" (25, 17). »
D’après le midrach et la plupart des Commentateurs, le rêve de Yaacov, qui s’était endormi à la limite des frontières du pays d’Israël, préfigure le début de la Galouth, de l’exil, et coïncide avec la date de la destruction du Temple.
Le midrach précise que le verset : « Il eut peur, et dit : ‘‘ Combien est redoutable cet endroit ! ’’ (25,17) révèle que, dans son rêve, Yaacov perçut le Temple construit. Et la suite du verset « Celui-ci n’est plus » montre qu’il vit aussi le Temple détruit.
Le ‘Hatam Sofer explique : nous savons qu’aussi longtemps que le Temple d’en-bas est situé exactement en face de celui d’en-haut, aucune nation n’a prise sur lui; il est indestructible. Que fit donc le Tout-Puissant lorsqu’Il eut décidé de le détruire ? Il en modifia légèrement l’emplacement (midrach sur Lamentations 27). Ainsi, la Maison de D. put être livrée à la rage destructrice de l’envahisseur.
Pourquoi le Saint Beni soit-Il aurait-Il Lui-même déplacé Son Temple pour le mettre à la merci des peuples ?
Le ‘Hatam Sofer explique que, par leur conduite, les hommes eux-mêmes avaient rompu le parallélisme parfait qui régnait entre le Beth Hamikdach d’en-bas et celui d’en-haut. L’esprit de D. fut chassé de Son sanctuaire. Il en resta seulement les pierres inertes qu’il permit à Nabuchodonosor et à Titus de détruire et de brûler. Ce décalage entre le Temple céleste et le Temple terrestre se produit lorsque le Emeth, la Vérité, est bannie de la société des hommes.
Yaacov est, d’après nos Sages, celui qui personnifiera la Vérité : « Titène émeth léYaacov . »
Cependant, notre patriarche s’apprêtait à entrer dans le pays de Lavane haarami, Lavane le trompeur, qui, d’après le midrach, ne fut pas le seul à duper Yaacov.
Tous les habitants de l’endroit furent complices de la supercherie qui fera de Léa l’épouse de Yaacov en lieu et place de Ra’hel. Un véritable réseau de mensonges se tisse autour du Patriarche. C’est désormais dans la Alma déchiqra, dans un monde où la vérité n’a plus sa place, qu’évoluera Yaacov jusqu’à son retour en Terre Sainte. Précisément à l’entrée de cet endroit, Yaacov s’endort : la notion de vérité est mise en veilleuse; nous sommes le neuf Av, date à laquelle, plus tard, le Temple s’effondrera.
« Chaque génération pendant laquelle le Temple n’a pas été reconstruit, c’est comme s’il avait été détruit dans cette génération » disent nos Sages.
Notre génération porte, à cet égard, la même responsabilité que celle qui a vu de ses yeux la chute du Sanctuaire. Nous vivons effectivement dans ce ‘‘monde du mensonge’’ : on parle de paix et on pense guerre; on prononce liberté et on prépare l’asservissement; on porte aide aux affamés et on vise l’exploitation des faibles; n’est-ce pas exactement dans un tel monde que l’on disait « Ra’hel » tandis que l’on sous-entendait « Léa » ?
À nous donc de redresser la situation, de remettre le Temple d’en-bas exactement en face du Temple d’en-haut, et d’œuvrer pour la reconstruction de la Maison de D.
Comment retrouver cette notion perdue de Vérité ?
En hébreu, le mot Émeth commence par la lettre Aleph et se termine par Tav (la première et dernière lettre de l’alphabet) en passant par celle du milieu, le Mem.
La vérité, pour être elle-même, doit nécessairement englober la totalité des données.
Nous n’avons que faire de ces vérités fragmentaires forgées par les hommes dans leurs innommables systèmes philosophiques, politiques et économiques. Dans ces idéologies, les mêmes mots ont une infinité de sens radicalement opposés suivant que l’on se trouve en delà ou en deçà de telle ou telle frontière.
Pour nous, la Vérité absolue ne peut venir que de Celui qui connait, par essence, dans le Temps et dans l’Espace, l’ensemble des données de chaque problème. Cette Vérité, Il l’a mise à notre portée dans le message qu’Il nous a transmis : la Torah.
Aussi longtemps que Yaacov apprenait la Torah, jour et nuit sans discontinuer dans la yéchiva de Chem et Ever, le Sanctuaire d’en-bas se trouvait exactement en regard de celui d’en-haut; il était donc indestructible.
Le jour où Yaacov a interrompu son étude (c’était Tiche’a Béav, jour où, jusqu’aujourd’hui, on n’étudie pas la Torah), le temple fut livré à la ruine.
Notre rôle consiste à reconstruite la Maison de D., à retrouver le chemin de la Vérité qui passe de façon incontournable par le Beth Hamidrach, la maison où l’on étudie la parole de D.
HEUREUX ÊTES-VOUS, ISRAËL !
« Et voici que des anges de D. y montaient et en descendaient »(28,12).
Le Midrach précise sur ce verset : « D. montra à Yaacov, notre père, l’ange de Babel qui montait et descendait. D. demanda à Yaacov : ‘‘Pourquoi ne montes-tu pas, toi-aussi ?’’ À ce moment, Yaacov, notre père, prit peur et répondit : ‘‘Comme ceux-ci tomberont, ne tomberait-je pas moi aussi ?’’
D. lui répondit : ‘‘Puisque tu n’as pas confiance, tes descendants seront asservis…’’ »
Le Chem miChmouel explique ce midrach énigmatique en rapportant un commentaire du Maharal sur un passage de la Guémara Kétouvoth (66b) :
(Pendant le siège sur Jérusalem sévissait une terrible famine). Rabbi Yo’hanan ben Zakkai vit une jeune femme ramasser des grains d’orge parmi les excréments de bêtes appartenant aux Arabes et il s’exclama : « Heureux êtes-vous, Israël ! Lorsque les enfants d’Israël agissent selon la volonté du Tout-Puissant, aucune nation n’a de pouvoir sur eux mais lorsqu’ils n’obéissent pas à Sa Volonté, Il les livre aux mains d’un peuple primitif. Et non seulement en leurs mains mais aux pattes de leurs animaux. »
N’est-il pas surprenant que dans une situation aussi dramatique, Rabbi Yo’hanan se soit exclamé : « Heureux êtes-vous Israël » et non « Malheur à vous, Israël ! » ?
Le Maharal explique que le sort du peuple juif est diffèrent de celui des autres nations. On constate ce phénomène surtout au moment où ses souffrances atteignent un degré jamais égalé comme pendant l’Holocauste. Lorsque, dans le malheur comme dans le bonheur, la destinée particulière du peuple élu dépasse toutes les normes, ‘‘le doigt de D.’’ se révèle de façon évidente. Le monde entier se voit contraint d’admettre que l’histoire du peuple juif est soumise à des causes surnaturelles. « Heureux êtes-vous, Israël ! » de bénéficier d’une Providence divine aussi particulière, s’exclama Rabbi Yo’hanan.
Ainsi peut-on comprendre les réserves de Yaacov lorsqu’on lui proposa de monter et de descendre sur l’échelle comme les autres nations. Implicitement, il opta pour l’asservissement en Égypte, c’est-à-dire qu’il choisit pour ses descendants un devenir spécifique différent de celui des autres peuples : celui de montrer de façon éclatante l’intervention de D. sur terre.
Cette décision est d’autant plus caractéristique qu’elle intervient au moment où s’ébauche, dans le rêve de l’échelle, toute l’histoire de l’exil d’Israël.
Souhaitons que très bientôt, notre Téchouva et nos actes méritoires permettront à la Providence divine de manifester envers nous pour le bien, au-delà de toutes les normes naturelles et de manière infiniment plus puissante que pour le mal.
LA CONNAISSANCE DU PÉCHÉ
« Yaacov fit un vœu en disant : si D. est avec moi et me protège dans le chemin où je vais… »(28,20). Le midrach explique que Yaacov prononça un vœu « afin de ne pas tomber dans les fautes d’idolâtrie, d’inceste et de meurtre ! »
Comment Yaacov, notre père, après quatorze ans d’étude ininterrompue à la yéchiva de Chem et de Ever, pouvait-il craindre de commettre des fautes aussi graves ? D’autre part, où trouve-t-on, dans la Torah, que Lavane ait essayé, par son influence pernicieuse, d’entrainer Yaacov dans l’immortalité ?
En réalité, après son séjour à la yéchiva, Yaacov avait saisi le sens et la portée profonde de la faute la plus légère, du moindre péché.
Il comprit qu’un instant de colère constitue de l’idolâtrie comme il est dit « se mettre en colère, c’est comme pratiquer l’idolâtrie » ou « quiconque s’enorgueillit est considéré comme idolâtre ». L’inceste ? Il est écrit « vous ne vous approcherez pas d’une femme nida… ». Attention au moindre accroc dans les lois d’éloignement incombant à un homme lorsque sa femme est en état d’impureté ! À propos de l’interdiction du meurtre, nos Sages ne disent-ils pas : « Quiconque fait pâlir (de honte) son prochain en public est considéré comme ayant versé son sang ? »
Sans compter la médisance, le lachone hara, cette faute plus grave que les trois fautes capitales réunies !
À travers l’étude de la Torah, Yaacov compris, en outre, la façon dont pouvait s’exercer l’influence de Lavane. Assurément, cet homme déloyal n’allait pas entrainer notre patriarche à devenir un menteur, car Yaacov était la personnification même de la droiture comme il est écrit : "Titène émeth leYaacov".
Cependant, Yaacov craignait que le fait d’avoir toujours devant les yeux un homme fourbe comme Lavane n’affaiblisse un peu sa vigueur morale, que cela ne tempère ses efforts pour arriver à l’intégrité totale. Or, il est dit : « Yaacov fit un vœu- vayidar Yaacov néder ». Néder peut se décomposer en deux mots : noun (cinquante) et dar (habiter).
Le vœu prononcé par Yaacov révèle son aspiration à « habiter » dans la « cinquantième » porte de sagesse.
Vivre dans un milieu moins religieux que son niveau d’observance des mitzvot, comporte le risque de ne plus essayer d’atteindre une madréga (niveau) supérieure et de se contenter de ses acquis.
Or, dans le domaine spirituel, il faut toujours avoir l’ambition de s’élever.
Le Hafets Haïm, interprétant le verset « bachamaïm mima’al vé’al haarets mita’hath - dans le ciel, au-dessus et sur la terre, en-dessous » disait :
« Lorsqu’il s’agit du ‘‘ciel’’ il faut regarder vers le haut mais lorsqu’il s’agit de la ‘‘terre’’, on portera son regard vers le bas. Dans le domaine spirituel, on prendra exemple sur ceux qui sont meilleurs, plus religieux et plus intègres que soi. Par contre, dans le domaine matériel, on se comparera à ceux qui ont un niveau de vie inferieur au sien. En effet, lorsqu’on réduit ses ambitions matérielles, on favorise son élévation spirituelle. »
LES LOUANGES DE LÉA
« Et à la naissance de son quatrième fils, Léa dit : « Cette fois, je vais remercier D. » C’est pourquoi elle le nomma Yéouda » (28.35).
Rachi explique ainsi ce verset : « Car (Léa dit) j’ai reçu plus que ma part; à présent je dois louer D. »
En effet, nos Imahoth, nos Mères, savaient que Yaacov devait engendrer les douze tribus. Comme il avait quatre épouses, la part de chacune était de trois fils. Or Léa enfanta un quatrième fils, Yéhouda.
La Guémara dit à ce propos (Bérakhot 7b) : « Depuis le jour où D. a créé le monde, personne n’a loué D. jusqu’à ce que vienne Léa et Lui exprime sa reconnaissance. »
Ce passage de la Guémara est fort étonnant car même Adam Harichone, le premier homme, avait glorifié D. dans son Psaume 139,14 : « Je Te rends grâce de m’avoir si merveilleusement distingué; Tes œuvres sont prodigieuses, mon âme le sait parfaitement. »
Nous voyons aussi que nos patriarches ont loué D. pour les miracles qu’Il a accomplis en leur faveur. Ils ont même offert des sacrifices et construit des autels ! Qu’a donc de particulier l’élan de gratitude de Léa ?
Le Ketav Sofer l’explique : « Celui qui réciterait le Hallel hagadol tous les jours, c’est-à-dire le psaume 136 ‘‘ki léolam Hassdo’’ est considéré comme une personne qui blasphème le Nom de D. ! » affirment nos Sages (Chabbat 118b).
Qu’y a-t-il de si grave à louer quotidiennement le Tout-Puissant pour les miracles extraordinaires qu’Il nous a prodigués ?
Il est du devoir de chacun de remercier le Créateur, tous les jours, pour le bien qu’Il prodigue à chaque heure et chaque minute.
« Kol nechama téhalel Ka- toute âme louera D. » dit le Psaume, verset que nos Sages lisent : « ‘al kol néchima ounechima téhalel Ka- pour chaque respiration, il faut remercier D. ».
Or, lorsqu’un homme a bénéficié d’un bienfait hors du commun, il ressent le besoin de remercier D. et de raconter Sa toute-puissance. Par contre, il n’est pas poussé à le faire parce qu’il respire, qu’il vit normalement, qu’il est en bonne santé, etc. Cela lui semble naturel et automatique.
C’est pourquoi, l’homme qui veut louer D. tous les jours uniquement en récitant le Hallel hagadol c’est-à-dire en énumérant les miracles extraordinaires vécus par nos ancêtres mais ne réalise pas qu’il faut tout autant Le remercier pour Ses bontés quotidiennes est considéré comme un blasphémateur.
Certes, Adam, Noa’h, Avraham, Yits’hak ont chanté les louanges de D., mais ils l’ont glorifié pour des miracles surnaturels. Leurs sacrifices de reconnaissance étaient, à leurs yeux, une obligation impétueuse allant de soi. Léa, par contre, exprima sa gratitude et donna à son enfant le nom de Yéouda, louange à D. pour la naissance d’un quatrième fils, chose qui semble n’avoir rien d’exceptionnel.
Cependant, Léa n’a pas considéré cette quatrième naissance comme un fait naturel dû au hasard. « J’ai reçu plus que ma part » dit-elle et c’est en cela, expliquent nos Sages, que réside sa supériorité sur les personnes éminentes qui ont loué D. avant elle.
PASSÉ ET FUTUR
Car, contrairement à une montagne ou un champ, une maison est entourée de murs, de barrières .En exil, il faut se tenir sur la défensive et se garder.
Quel principe aidera les descendants de Yaacov à résister aux vicissitudes de l’exil ?
Le Hokhma ’im Na’hala nous le révèle en s’appuyant sur le Midrach. Yaacov a formulé son vœu en disant : « Véhaya Hachem li Elokim- et l’Et. Sera pour moi D. »(28,21). En retour, D. promit a Yaacov : « Par ta vie, pour tous les bienfaits, les bénédictions et les consolations que Je prodiguerai à tes enfants, J’emploierai le même terme, ainsi qu’il est écrit : ‘‘Véhaya bayom hahou- et ce sera, ce Jour-là…’’ »
La clé de la rédemption passera par le même verbe que celui de Yaacov pour désigner l’exil : véhaya.
Dans le terme véhaya, la lettre de liaison vav transforme le passé en futur : cela signifie que, pour traverser l’exil, pour résoudre les problèmes du futur et parvenir à la Géoula, le Peuple d’Israël devra prendre ses sources dans le passé. Ce sont nos ancêtres qui, à travers leur histoire, ont tracé la voie à leurs descendants.
A l’opposé, la Guémara nous dit : « Chaque fois que le mot vayehi- et ce fut- apparait, il annonce un malheur ».
Ici, le raisonnement est inverse : lorsqu’on part du futur pour résoudre les problèmes du passé, le passé est jugé, méprisé, par rapport aux progrès et au modernisme contemporains. Cette démarche conduit à une impasse, au malheur, à vayehi. C’est uniquement en établissant un lien constant avec notre tradition, avec notre passé, que nous parviendrons à l’avenir messianique promis à l’humanité : « véhaya bayom hahou- et ce sera ce Jour-là… »
Source : Imrei Cohen - Rav Guerchon nous parle
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CHABBAT ET LA SORTIE D’ÉGYPTE
Selon le Ramban, réaliser que D.ieu a supervisé la sortie d’Égypte nous fait prendre conscience qu’Il est également personnellement impliqué dans le déroulement de notre journée.
« Si tu as un quelconque doute à savoir si Chabbat témoigne de la Création de D.ieu, de Sa volonté et de Sa force, essaie de te souvenir de ce que tes propres yeux ont vu : la sortie d’Égypte. Elle te sert de preuve et de souvenir. Chabbat nous rappelle la sortie d’Égypte et la sortie d’Égypte nous rappelle Chabbat, car lorsque nous nous souvenons [de la sortie d’Égypte], nous nous concentrons sur le fait que D.ieu est à l’origine de tous ces miracles et nous nous demandons si tout s’est produit selon Sa volonté étant donné que c’est Lui qui a tout créé. » Ramban (Dévarim 5:15)
Source : Olami
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Paru au Journal Officiel du 01/1990
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