Émouna : Hachem n’oublie personne !
La Foi est probablement le plus beau cadeau que l’on puisse recevoir en ce monde.
Le roi Salomon - le plus sage de tous les hommes - disait : « Quiconque a la foi [en D.] est comblé de bénédictions. »
Mais la Émouna est très fugace. On ne peut l’acquérir que par le biais d’efforts soutenus et quotidiens.
C’est un travail ardu, une bataille de chaque instant, mais cela en vaut la peine. Lorsque nos prières semblent vaines, que la délivrance tarde à venir, nous avons parfois l’impression qu’Hachem nous a oubliés, abandonnés, délaissés. Nous perdons nos repères, notre Émouna faiblit.
C’est pourquoi, il faut s’efforcer de garder en permanence à l’esprit, la phrase suivante : « Hachem ne m’a pas oublié. » Lorsque l’on se sent fragile, éprouvé ou contrarié, ayons le réflexe de nous adresser à Hachem : « Maître du monde, j'ai confiance en Toi. Je sais que Tu ne m'as pas oublié. Même si en ce moment, tout est compliqué, obscur et incompréhensible pour moi, je crois sincèrement en l’amour que Tu me portes. Je sais que Tu ne m'abandonneras pas et que Tu es près de moi, même si je ne le perçois pas. »
Tout au long des douze années durant lesquelles Yossef Hatsadik séjourna en prison et en dépit des épreuves et difficultés auxquelles il fut confronté, il ne cessa jamais de penser qu'Hachem était avec lui. Quelle que soit la difficulté à laquelle nous devons faire face, il nous faut avoir la conviction qu’Hachem se tient à nos côtés et qu’Il nous donnera les forces de surmonter cette épreuve. Ayons confiance en Hachem en toutes circonstances et restons forts ! Le désespoir n'existe pas. Chaque problème a sa solution. La délivrance d'Hachem survient en un clin d'œil.
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Paru au Journal Officiel du 01/1990
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